Résumé :
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Le livre s'ouvre sur cette confidence : "Chère Adèle, il n'y a plus de mots pour décrire ce que je vis." S'ensuit une série d'illustrations réalisées au pastel dans des tons sépia, dénonçant l'atrocité de la guerre, sa solitude, les peurs et angoisses qu'elle génère, ses dommages, et ses morts. A la fin de l'ouvrage, une enveloppe est collée sur la page de garde. Elle contient une longue lettre d'Adèle, en réponse aux quelques mots de Gustave. La lettre de la femme du poilu, profondément intime, traduit ses craintes et son espoir de revoir celui qu'elle aime.
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